La Médecine hospitalière, en dépit des buts altruistes qui ont toujours été les siens, n'a pas échappé aux dérives du pouvoir hiérarchique, où un finit par s'imposer et imposer sa pensée unique. Cett époque de mandarins est heureusement, pour l'essentiel, révolue.
La meilleure guidance est participative. C'est-à-dire que la personne qui dirige le service ait la capacité de donner à chacune et à chacun la profonde dignité de contribuer par son intelligence, par son originalité, à trouver ensemble les meilleures solutions pour soigner au mieux les personnes malades.
On ne peut que rêver que cette remarquable guidance participative s'étende aux entreprises ou à la politique, aux gouvernements. En politique, il n'y a guère que Ségolène Royal à avoir adopté cette voie-là.
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